Cinq six onze
Deux chœurs, l’un à cinq voix, l’autre à six, une écriture de motet à onze voix réelles, une prédominance de cycles rythmiques de cinq six onze combinés avec des valeurs ajoutées puis, comme trois miroirs plans mobiles rétrogradés au centre de la pièce, une référence à Machaut : le texte latin utilisé est tiré du motet 23